Lettre de nouvelles de juillet

Bien chers amis, « Du pain et des Jeux » (Panem et circenses )C’est une ancienne devise de l’époque romaine.Ainsi, le peuple pouvait se nourrir et se divertir. Cette devise reflète, dans bien des aspects, notre société actuelle !C’est précisément ce que la plupart de nos contemporains recherchent, quand ce n’est pas de leur nécessaire ni de leurs besoins essentiels : du confort et de la distraction.Du bien-être et des défis. Des jeux, du sport… et, bien sûr, des Jeux à Paris et en France cet été. Du temps de l’apôtre Paul, les Jeux Olympiques existaient déjà. En fait, depuis 776 avant notre ère, tous les quatre ans, les Grecs célébraient leurs Jeux à Olympie, ville située à l’ouest de Corinthe. Ces Jeux revêtaient un caractère religieux très important puisqu’ils étaient organisés en l’honneur de Zeus, dieu suprême des Grecs de l’Antiquité et de Héra son épouse.Le vainqueur de ces Jeux qui duraient cinq jours, recevait la couronne olympique faite de laurier ou d’olivier, symbole d’honneur, de sagesse, de paix et de gloire. L’apôtre mentionne d’ailleurs cette couronne, disant aux Corinthiens (I Corinthiens 9:25) que tous les athlètes s’imposent une discipline sévère dans tous les domaines pour recevoir une couronne, qui pourtant sera bien vite fanée, alors que nous, nous aspirons à une couronne qui ne se flétrira jamais. Il poursuit d’ailleurs sa pensée, précisant : « C’est pourquoi, si je cours, ce n’est pas à l’aveuglette… Je traite durement mon corps, je le maîtrise sévèrement, de peur qu’après avoir proclamé la Bonne Nouvelle aux autres, je ne me trouve moi-même disqualifié » (v. 26-27).Après mille ans d’existence, ces Jeux cessèrent par ordre du premier empereur catholique qui fit du christianisme la seule religion tolérée dans l’empire romain. Il interdit les cultes païens, parmi lesquels les fameux Jeux…Il faudra attendre la fin du XIXème siècle pour les revoir ! C’est, au tournant d’un nouveau siècle que le baron français Pierre de Coubertin a fait ressurgir du passé la notion d’olympisme et, après bien des efforts, Athènes ouvre en avril 1896 le bal des Jeux Olympiques modernes. Puis, 32 ans plus tard, une torche s’allume pour la première fois à Amsterdam et deviendra en 1936, la flamme voyageuse, feu sacré du sport, depuis Olympie à Berlin. Aujourd’hui, la France est mobilisée pour organiser ces Jeux où 203 délégations vont arriver à Paris. Un drapeau olympique (créé en 1914) composé de ses cinq anneaux représentant les continents enchevêtrés, y flottera partout. « Le monde regardera le monde » pour le célèbre défilé d’ouverture sur la Seine, qui cause déjà tant de soucis… Et pendant tout ce temps, qu’allons-nous faire ?Certainement nous intéresser au bon déroulement de ce grand évènement planétaire des Jeux Olympiques et Paralympiques. Admirer aussi les prouesses sportives de ces centaines d’athlètes en quête de records personnels et de performances spectaculaires. Car c’est un grand privilège de vivre un siècle où tout cela peut venir jusque dans notre salle à manger au moyen de nombreux médias.Cependant, pendant ce temps, nous avons mieux à faire à titre individuel et collectif : ce sera de rejoindre la CMM dans tout ce qu’elle aura à offrir à l’ensemble du Corps de Christ et à chacun de nous, avec de bons moyens de témoignage personnel. A cet effet, une brochure très actuelle et intitulée « Derrière les mots » vous est déjà proposée dans le cadre de notre traditionnelle Opération Villages. Elle est destinée à toutes vos rencontres et surtout à ensemencer les localités qui vous entourent ou que vous visiterez pendant vos temps de vacances, de loisirs. Mais il y a plus : Pour vivre l’actualité « dont on parle », celle des Jeux de Paris, un traité/brochure intitulé « Sportez-vous mieux ! » a été préparé pour cette occasion par de fidèles et précieux amis, Michel Guillot et Éric Denimal. Il orientera par intérêt pour le sport, toutes vos connaissances et vos rencontres vers le cœur de l’Évangile du salut : Jésus-Christ.La génération montante est au cœur de ce message, avec toute la vivacité de son approche, associée à un parcours numérique qui ne manquera pas d’attirer l’attention de beaucoup !C’est au travers du coupon réponse joint à ce pli que nous pourrons très vite commencer ensemble ce beau parcours d’été à la seule gloire du Seigneur. Très fraternellement, PS : La CMM est un mouvement évangélique solidaire, formé de chrétiens professants qui se mobilisent pour inviter chaque personne sur terre à suivre Jésus-Christ et son message d’amour. (Marc 1:18 ; Matthieu 8:22 ; Jean 7:37 ; etc.).

Lettre de nouvelles de juin

Bien chers amis, Je suis certain que vous connaissez déjà mon nom, même si je ne vous le donne pas tout de suite !En fait, je suis un coureur de fond de classe olympique, un athlète qui n’a pas de frontière. J’ai depuis pas mal d’années, visité plus de 200 nations du monde. Quelques- unes d’entre elles sont fermées à mon équipe, mais des amis m’y ont fait entrer clandestinement. Autrefois, j’ai franchi sans bruit de nombreuses barrières, même un rideau de fer et plus loin de bambou. Au cours des combats au Moyen-Orient, en pleine révolution ou guerre tribale d’Afrique, je suis là ! J’ai transmis ma flamme dans les Iles Salomon comme au Népal, en Bolivie, à Basse-Terre et à Paris. Je suis même allé au sommet des arbres retrouver des familles pygmées qui m’ont très bien accueilli ! Mon message est toujours simple et court. Il est résolument clair et précis, afin de m’adresser directement à tous ceux qui m’ont approché. Je parle la langue et les dialectes de chaque pays visité. Si toutefois je me trouve face à l’analphabétisme, alors mes cousines numériques de la CMM, qu’on appelle Internet et réseaux sociaux, prennent immédiatement le relais.Je suis accessible à tous, du président au plus simple citoyen. Je n’hésite pas à m’adapter à ceux qui vivent dans les prisons, les camps de réfugiés ou les bateaux. Je pénètre sans problème dans les casernes et dans les hôpitaux au travers de leurs aumôniers. Savez-vous pourquoi rien ne m’arrête ? Simplement parce que je suis soutenu par la prière des croyants du monde entier.Chaque jour je peux ainsi m’adresser à des milliers de personnes dans le monde. Beaucoup d’entre elles se sont inscrites à un programme biblique de la CMM depuis mon dernier passage. Et… je ne suis pas trop gourmand car je pratique le circuit court ! Comme je vois le jour dans le pays où j’ai l’intention de circuler, je ne coûte pas de frais d’importation. Ma trace carbone est négligeable… Et en situation risquée, quand il m’arrive de voyager d’un pays à l’autre, je suis si discret et si léger qu’on ne fait pas attention à moi.Parfois on m’a maltraité ! Je me souviens du sort qui m’a été réservé en Inde et au Mexique. Heureusement que je véhicule l’amour de Dieu car j’ai été plus d’une fois « froissé »… Il n’y a pas si longtemps qu’un gangster de la mafia s’est tellement fâché en me voyant, que j’ai failli faire « un faux pli ». Maintenant il a découvert le Seigneur et prêche l’Evangile dans deux églises des Antilles.Dans une ville du Nicaragua, ceux qui s’opposaient au message que j’apportais ont essayé de terroriser les chrétiens qui m’aidaient à répandre la Bonne Nouvelle de Christ. Un jour, deux cavaliers sont subitement entrés dans une église en faisant siffler leurs machettes ; ils ne purent pas pour autant anéantir mon action. Je prends maintenant l’habitude d’aller dans presque toutes les républiques autour de la Russie ou en Chine… J’y ai d’ailleurs des milliers de cousins. En effet, alors que j’étais dans le Caucase, des jeunes gens ont recopié mon message, afin de le recopier encore et de le donner à d’autres.Oh, vous savez, je n’ai pas peur des mauvaises langues. Je suis sans préjugés. Je parle aux hindous, aux bouddhistes et aux juifs, aussi bien qu’aux animistes ou aux athées.Je suis très actif dans les plus grandes nations musulmanes du monde : l’Inde, le Bangladesh, l’Indonésie, sans oublier bien sûr le Niger, le Mali et plusieurs grands pays de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. En fait, je prêche Jésus-Christ partout où les hommes vivent.Vous voyez, vous me connaissiez bien : je suis un traité CMM !Je suis sans peur et sans reproche car Dieu est avec moi. Je sais que vous ne parlez pas tagalog, luvale ou hindi, ni même le quart des 1.215 langues que je parle couramment. Votre vie ne suffirait pas à visiter les 210 régions linguistiques que je fréquente tous les jours… Et moi ! j’aimerais devenir votre missionnaire, si seulement vous voulez bien m’envoyer et l’occasion nous est donnée, cet été encore, au travers de l’Opération Villages et que le coupon-réponse joint vous propose. Mon offre est orientée vers toutes vos rencontres et surtout pour ensemencer les localités qui vous entourent ou que vous visiterez pendant vos temps de vacances, de loisirs. Je viens de vous décrire le ministère béni que Dieu m’a confié depuis de nombreuses années, entre les mains des milliers d’Agents CMM qui sont répartis sur les cinq continents. Pendant les Jeux de Paris 2024*, je serai là sans faute !Souvenez-vous que vous pouvez m’épauler efficacement par la prière, l’offrande et la distribution.Voulez-vous m’envoyer à quelques-uns de ces milliers d’hommes et de femmes qui attendent ? Voulez-vous également prier le Seigneur qu’il bénisse chaque parole que je leur apporte ? Si vous le faites, vous serez heureux. Toute l’équipe de la CMM se joint à moi pour vous confirmer que la page imprimée reste une puissance extraordinaire entre les mains du peuple de Dieu, et dont le Saint-Esprit se sert miraculeusement.Je ne doute pas non plus des mille bienfaits que produit ma cousine, la page digitale sur les réseaux sociaux !D’avance, et ensemble, nous vous exprimons nos sentiments très reconnaissants pour votre aide précieuse à nos côtés.   *Pour vivre l’actualité des prochains mois, celle des Jeux de Paris, un traité/brochure spécialement préparé pour nous par de fidèles et précieux amis, MM. Michel Guillot et Éric Denimal, orientera par l’intérêt pour le sport, toutes vos connaissances et vos rencontres vers le cœur de l’Évangile du salut : Jésus-Christ.La génération montante est au cœur de ce message, avec toute la vivacité de son approche, associée à un parcours numérique qui ne manquera pas d’attirer l’attention de beaucoup !

Lettre de nouvelles de mai

Bien chers amis, Il y a près d’un siècle, une expédition polaire américaine recruta un jeune esquimau du Groenland. Satisfaits de ses services, les organisateurs le récompensèrent en lui faisant visiter la ville de New York. Quelle ne fut pas son émotion en découvrant les splendeurs de la civilisation moderne naissante… Il était ébloui par tout ce qu’il voyait et entendait. C’était plus qu’un rêve. Il entrait dans un autre monde que le sien ! De retour dans son village natal de l’Arctique après ce bref séjour, il tenta de raconter autour de lui toutes ces merveilles. Il essaya de décrire ces igloos si hauts qu’ils se perdaient dans les nuages. Comment la ville était remplie de petites maisons sur roues où vivent des personnes en constant mouvement et qu’on appelle automobiles. Il n’oubliait pas le gigantisme des ponts et le bruit des bateaux. Il expliquait avec ses mots, que la lumière pouvait être artificielle, sans feu ni soleil. C’est cette lumière-là qui éclairait la grande ville toute la nuit comme des milliers de lunes réunies… C’est avec incrédulité et froideur que les gens l’écoutèrent. Ils lui donnèrent même un surnom : Sagdluk, qui signifie « menteur ». Et jusqu’à la fin de ses jours il porta ce sobriquet, emportant jusque dans la tombe l’opprobre et l’incompréhension. Des années plus tard, lorsque l’explorateur suédois Knud Rasmussen monta sa fameuse expédition, allant du Groenland à l’Alaska, il y associa aussi des esquimaux dont l’un d’eux s’appelait Mitek. Mitek visita à son tour et pour les mêmes raisons, les villes de Copenhague et de New York. Là encore, l’émotion et l’éblouissement furent intenses. Revenu au Groenland, il se souvint de la tragédie qui s’était abattue sur le pauvre Sagdluk. Il décida très vite que ce n’était pas très prudent de dire la vérité ! Il vaudrait mieux raconter à son peuple des histoires qu’il puisse comprendre et souhaite entendre. En même temps, il sauverait sa réputation. Il expliqua alors comment, avec le Dr Rasmussen, il avait dressé des campements sur les bords de la Grande Rivière Hudson et avec quelle efficacité il avait chassé en canoë, les canards, oies, et divers gibiers. Pour ses semblables, Mitek était un héros vaillant et un honnête homme… Même s’il connaissait la vérité, sa prudence avisée lui permettait ainsi de ne courir aucun risque et évitait l’offense. De ce fait, ses voisins dans l’ignorance, le considérèrent avec respect, jusqu’à la fin de ses jours. Ceux qui disent la vérité ont souvent un chemin rempli d’embûches et trouvent rarement beaucoup de sympathie de la part de ceux à qui ils s’adressent. Avant que Guy Béart ne chante sa chanson célèbre sur « Celui qui dit la Vérité », Socrate a été obligé de boire la ciguë. Esaïe, selon un texte éthiopien, fut ligoté et scié en deux. Etienne fut lapidé. Jean Huss fut brûlé vif sur un bûcher. Galilée dû renier ses découvertes sur le système solaire. Les gens n’aiment pas que l’on remette en cause leurs certitudes. Ils résistent à ceux qui ne suivent pas leur façon d’agir et de penser. Certes, les esquimaux avaient des excuses. Par expérience, ils ne pouvaient pas visualiser et discerner tout ce que Sagdluk leur décrivait. Et nous aujourd’hui, pouvons-nous trouver les mêmes excuses aux croyants de notre génération qui savent que depuis 2000 ans le Seigneur qui les a sauvés les missionne également ? Si peu le croient vraiment et obéissent. Il demeure vrai et certain que « cette bonne nouvelle du Royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. » (Matt 24 :14). Il subsiste que la lumière de l’Evangile n’est pas destinée à être cachée « sous le boisseau », mais à éclairer tous les hommes, « car la volonté de Dieu est, qu’aucun ne périsse, mais que tous parviennent à la connaissance de la Vérité. »r C’est grave, pour la cause de notre Seigneur, de se contenter de chasser sur des canoës le long des rives de l’Hudson… L’un des objectifs de notre lettre mensuelle d’information et de prière est de vous associer, en vrai et en temps réel, sans dissimulation, ni exagération, aux besoins de 8 personnes sur 10 qui n’ont encore jamais rencontré celui qui leur dit clairement : « Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi » ! Pour cela, des milliers de chrétiens se lèvent encore de toute race de toute culture, animés par la même volonté et la même vision : Atteindre avec l’Evangile et de manière compréhensible, la dernière famille de leur monde. Au moyen des sujets de prière qu’ils nous adressent mois après mois, ils nous font parcourir à genoux des chemins qu’aucun touriste ne peut découvrir. C’est ceux des cœurs qui se tournent vers Dieu. Oui, ne taisons pas la vérité, mais faisons-la courir ensemble au près comme au loin, quel qu’en soit le prix. C’est ainsi que nous allons et que nous vous invitons, tout spécialement en ce printemps, à nous rejoindre, dans la prière et le soutien fidèles. Sachons avec reconnaissance, accompagner la Bonne Nouvelle de nos efforts et favoriser la diffusion de la vérité vers tout homme et toute femme de notre pays, et… au-delà. A très bientôt, avec les sentiments dévoués et volontaires de  

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